Championnat de montgolfières de Brissac.
On en profite pour s’offrir un vol, réalisation d’un petit rêve. Profondément déçue à cause de l’organisation moisie : Monsieur et moi-même nous retrouvons dans des ballons séparés. Dommage pour un truc qu’on aurait du partager. Pour ma part, ça gâche, ça gâche même beaucoup.
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Sur le site de décollage, tous les groupes (passagers + pilotes et accompagnants) sortent les nacelles des remorques, déplient les ballons (20x15m !) et les gonflent en soufflant dedans (nan, c’pas vrai, y’avait des ventilo). Pendant ce temps, les pilotes testent les brûleurs.
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A l’intérieur..
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Là, le ballon est gonflé mais l’air est encore froid. La nacelle est donc couchée pour que les bruleurs soient dans l’axe et on chauffe !
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Le ballon se redresse lentement.
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Dans les airs.
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C’est le moment de sortir les marshmallows, ça chauffe fort ! Pour les très grands, il est recommandé de se mettre de l’autre côté sous peine de sentir le cochon grillé.
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Château dont j’ai oublié le nom.
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Château de Brissac. La croix blanche est une cible à atteindre en plein vol. Vous voyez la petite voiture blanche sur la droite ? Eh bah notre témoin est tombé à 1m.
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Vu des airs.
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Après l’atterrissage (un peu brutal pour les néophytes), on fait descendre les passagers un par un en prenant le temps de restabiliser, autant que possible, la nacelle. Les descendus essayent de faire contrepoids mais qui peut lutter contre un ballon encore gonflé et un brin de vent ?
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Ensuite, on couche la nacelle, libération du pilote que nous avouera qu’il était attaché, lui (normal, il a besoin de ses deux mains pour piloter) et on finit de dégonfler le ballon. Ensuite, on replie le ballon, on remballe tout, on recolle tout sur la remorque et on se barre !
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Nous avons donc atterri en plein milieu d’un champs, sans culture heureusement. Le propriétaire pourra nous remercier d’avoir labouré son terrain ! Certains agriculteurs (ou autre d’ailleurs) refusent catégoriquement qu’on se pose chez eux. Soit disant que ça ferait peur aux bêtes. On a vu une montgolfière se rapprocher d’une paire de ch’vaux, ils avaient + l’air curieux et content d’avoir de la visite qu’appeurés. En fait, c’est le bruit des brûleurs qui leur fait peur (bruit inconnu) donc il suffit de leur parler pour les rassurer.
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